M. Blanc avait déjà reçu une lettre le 27 février, avec une balle de calibre 38. Le militaire interpellé mercredi à Montpellier et placé en garde à vue a été relâché jeudi soir, sans qu'aucune charge ne soit retenue co
ntre lui. Les enquêteurs l'avaient arrêté sur la foi des accusations de son ex-compagne.un extrait de la lettre de menace


Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire