« Le droit de la régulation des medias est un droit nouveau qui ne suscite pas encore l’engouement. Il ya un véritable problème d’acceptation et de reconnaissance du CNRA » a souligné jeudi Nancy Ndiaye Ngom présidente du conseil de regulation de l ‘audiovisuel.
« On assiste à un foisonnement extraordinaire de la mise en valeur des médias dans les pays en voix de développement. le droit de régulation est un droit nouveau qui ne suscite pas un engouement a affirmé Nancy ndiaye Ngom pour parler du rôle pas tout a fait aisé du conseil de régulation de l’audiovisuel dont elle est la présidente.
Pour elle « le CNRA a tracé des axes majeurs pour la bonne régulation des medias
Il faut toujours avoir en ligne de mire que le droit de la régulation est un droit nouveau et difficile.
Sur ce Nancy Ngom a tenu à décrire quelques actions positives du CNRA « nous avons régulé les élections présidentielles et législatives. il reste maintenant à assurer le suivi des prochaines élections locales avant d’ajouter que le conseil a essayer autant que faire se peut de faire respecter la loi » Mais c’est un travail de longue haleine a t- elle indiqué .
Abordant le suivi des avis du CNRA , la présidente du conseil a dit qu’il faudrait continuer le travail car cela permettra a ceux qui viendrons de pouvoir poursuivre le travail déjà entamé.il serait également important pour le CNRA d’œuvrer dans le même sens avec les différents régulateurs pour tenter de trouver une démarche consensuelle de dialogue a conclu Nancy Ngom qui s’exprimait lors de la conférence de presse du CRNA tenue ce jeudi en vue de préparer la première assemblée générale du réseau francophone des régulateurs des medias qui se tiendra pour la première fois à Dakar du 24 au 29 novembre a l’hôtel Méridien président .
Cette assemblée générale du REFRAM verra la participation de plus de 22 pays francophones. Les experts de régulations vont échanger entre eux pour trouver des voix et moyen pour une régulation des medias efficace et porteuse d’espoir. Le thème de cette année porte sur la régulation des medias et diversité culturelle une manière de donner une place importante à la culture mais surtout de sauvegarder l’image de la femme. Selon marieme Seck chargée de la culture au sein du CNRA. Elle souligne que la femme est la plus visée dans les medias et cela peut dévaloriser l’image de cette dernière. Raison de plus il faut sauvegarder cette image a-t-elle conclutIl y a des problèmes d’acceptation et de reconnaissance du CNRA » selon Nancy Ndiaye Ngom
« On assiste à un foisonnement extraordinaire de la mise en valeur des médias dans les pays en voix de développement. le droit de régulation est un droit nouveau qui ne suscite pas un engouement a affirmé Nancy ndiaye Ngom pour parler du rôle pas tout a fait aisé du conseil de régulation de l’audiovisuel dont elle est la présidente.
Pour elle « le CNRA a tracé des axes majeurs pour la bonne régulation des medias
Il faut toujours avoir en ligne de mire que le droit de la régulation est un droit nouveau et difficile.
Sur ce Nancy Ngom a tenu à décrire quelques actions positives du CNRA « nous avons régulé les élections présidentielles et législatives. il reste maintenant à assurer le suivi des prochaines élections locales avant d’ajouter que le conseil a essayer autant que faire se peut de faire respecter la loi » Mais c’est un travail de longue haleine a t- elle indiqué .
Abordant le suivi des avis du CNRA , la présidente du conseil a dit qu’il faudrait continuer le travail car cela permettra a ceux qui viendrons de pouvoir poursuivre le travail déjà entamé.il serait également important pour le CNRA d’œuvrer dans le même sens avec les différents régulateurs pour tenter de trouver une démarche consensuelle de dialogue a conclu Nancy Ngom qui s’exprimait lors de la conférence de presse du CRNA tenue ce jeudi en vue de préparer la première assemblée générale du réseau francophone des régulateurs des medias qui se tiendra pour la première fois à Dakar du 24 au 29 novembre a l’hôtel Méridien président .
Cette assemblée générale du REFRAM verra la participation de plus de 22 pays francophones. Les experts de régulations vont échanger entre eux pour trouver des voix et moyen pour une régulation des medias efficace et porteuse d’espoir. Le thème de cette année porte sur la régulation des medias et diversité culturelle une manière de donner une place importante à la culture mais surtout de sauvegarder l’image de la femme. Selon marieme Seck chargée de la culture au sein du CNRA. Elle souligne que la femme est la plus visée dans les medias et cela peut dévaloriser l’image de cette dernière. Raison de plus il faut sauvegarder cette image a-t-elle conclutIl y a des problèmes d’acceptation et de reconnaissance du CNRA » selon Nancy Ndiaye Ngom
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